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Selon une étude collaborative parue en décembre dans Cancer Research par le National Cancer Institute (NCI), le Memorial Sloan-Kettering Cancer Center, Celera Diagnostics, SAIC-Frederick Inc., Applied Biosystems, le Massachusetts Institute of Technology et la Vanderbilt University School of Medicine le risque de cancer du sein est dû en partie à de très petites variations des gènes qui codent les récepteurs oestrogéniques des cellules.
Beaucoup de cancers de sein dépendent des oestrogènes et de la progesterone pour croître. Les cellules dans ces cancers ont à leur surface des protéines appelées récepteurs oestrogéniques et récepteurs à la progestérone. Les récepteurs représentent une porte d'entrée vers les cellules.
Les chercheurs conduits par Bert Or, Ph.D., du Centre NCIS pour la recherche sur le cancer ont étudié l'association entre le risque de cancer du sein et de très petites différences des gènes codants des récepteurs aux oestrogènes et à la progesterone. Les versions du gène peuvent différer par un seul nucléotide. L'étude notamment de 17 variations de nucléotide d'un gène appelé ESR1 a montré que deux d'entre elles étaient associées avec une susceptibilé au cancer du sein.
L'étude a inclus des échantillons de DNA de 1.006 femmes ayant un cancer du sein soignées au Mémorial Sloan-Kettering de New York et 613 sujets contrôles de 14 sites.
Les auteurs espèrent que des firmes pharmaceutiques pourront prendre ces résultats en compte pour développer de nouveaux médicaments.
Source : National Cancer Institute