'); } else { document.write( ' '); } // -->
Les résultats des tests sur le vaccin ont été présentés par des chercheurs de l'université de Washington lors d'une réunion de la Société américaine de microbiologie.
Les tests montrent qu'il assure une protection de longue durée. En effet quatre ans après avoir reçu le vaccin 94% des femmes ont été protégées contre le virus qui provoque la plupart de ces cancers, et aucune n'a développé de symptômes précancéreux.
Presque tous les cas de cancer du col de l'utérus sont causés par une infection liée au virus du papillome humain (HPV), qui est sexuellement transmissible. Parmi ces virus le virus 16 est responsable de la moitié des cas suivi mais à un degré moindre, environ 15%, par le virus 18.
L' étude a suivi 755 femmes de 16 à 23 ans pendant une période de quatre ans. Sept ont contracté des infections liées au virus 16, mais aucune n'a présenté d'état précancéreux. Dans le groupe témoin 111 ont été affectées par les infections et 12 ont développé des symptômes précancéreux. Le vaccin a été administré en trois doses sur une période de six mois.
Une autre étude avec une autre version du vaccin qui contient aussi la souche 18 et d'autres souches provoquant des verrues génitales ainsi que des cancers du pénis et de l'anus chez l'homme est en cours. Elle concerne tant les femmes que les hommes et concerne un beaucoup plus grand nombre de participants.
Le laboratoire pense demander l'an prochain l'agrément de la Food and Drug Administration pour le vaccin 16.
http://www.medicms.be/medi/dt/vaccin_hpv2.htm
http://www.medicms.be/medi/dt/print_200350.htm