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C'est ce qui s'est produit chez l'animal de laboratoire. Selon les résultats publiés par le Dr. David Holtzman et collaborateurs de l'école de médecine de l'Université Washington à Saint Louis (Missouri USA) dans le Journal of Clinical Investigation, un traitement aux anticorps a permis de restaurer la santé de cellules nerveuses dans le cerveau de souris atteintes par la maladie d'Alzheimer, en éliminant les plaques de peptides qui s'y étaient accumulées.
De plus la rapide capacité des cellules nerveuses à retrouver leur structure normale pourrait être une indication que ces cellules tentent en permanence de se rétablir, ce qui signifierait que la maladie d'Alzheimer n'est pas irréversible.
Ces résultats doivent encore être comparés à d'autres études pour déterminer si des effets similaires se produiraient aussi chez les humains.