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Selon l'article publié dans Proceedings of the National Academy of Sciences par le Pr Paul B. Fisher, professeur de pathologie clinique à la Columbia University, une technique qui utilise un virus modifié peut aider à surmonter un bloquage majeur dans la thérapie génique du cancer.
Cette approche apporte une solution au problème de la destruction involontaire de cellules saines en combattant les cellules cancéreuses. En laboratoire et au cours d'essais sur les animaux, cette méthode a tué les cellules cancéreuses prostatiques mais laissé les cellules saines intactes.
Selon les auteurs cette modalité thérapeutique devrait fonctionner dans différents types de tumeurs comme les tumeurs du sein, du cerveau, des ovaires, de la peau et du colon. Elle sera particulièrement utile pour éradiquer les métastases que l'on ne trouve pas et que l'on ne peut dès lors enlever chirurgicalement ou irradier.
SOURCE: Columbia University, news release, Jan. 25, 2005