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Selon l'article du Dr Gil Mor, de la Yale School of Medicine publié dans Proceedings of the National Academy of Sciences, un nouveau test sanguin pourrait aider les médecins à diagnostiquer les cas de cancer ovarien avant qu'il ne se soient trop développés.
Ce test permettrait d'identifier la maladie à un stade où elle peut être effectivement traitée. Il a une fiabilité à 95% mais cela n'est pas suffisant pour qu'il puisse être utilisé dans des programmes de screening nationaux où l'on souhaite une fiabilité à 99,6%.
Bien plus rare que les autres cancers gynécologiques le cancer de l'ovaire n'est malheureusement souvent dépisté que d'une manière tardive, ce qui entraîne un taux de décès important. On a pu parler à son propos de tueur silencieux.
Le test se base sur le dosage de quatre protéines, la leptine, la prolactine, l'ostéopontine et le facteur de croirssance II. Aucune de ces protéines ne peut à elle permettre de faire la distinction entre une patiente porteuse du cancer et une autre bien portante. Ceci est similaire à d'autres dépistages comme par exemple le dépistage par triple test du mongolisme auquel on a ajouté l'échographie.