'); } else { document.write( ' '); } // -->
En utilisant les marqueurs traditionnels comme notamment la troponine, les médecins devaient attendre un minimum de 2 ? 4 heures pour avoir le résultat. Les électrocardiogrammes ne suffisent pas toujours. L'étude estime que moins de 30 % des patients admis aux urgences avec une suspicion d'infarctus verront finalement le diagnostic confirmé.
L'attitude de prudence consiste ? hospitaliser le patient en cas de diagnostic incertain plut?t que de risquer un retour ? domicile. Il en résulte en conséquence un grand nombre d'admissions de patients sans réelle nécessité.
Cet appareil détecte une protéine dans une goutte de sang prélevée au bout du doigt. Cette protéine appelée h -FBAP est un marqueur détectable très précocément après la douleur.
L'intér?t de cette analyse est de savoir très vite si un traitement d'urgence s'impose.