Il ne fait plus de doute aujourd'hui que la santé est liée à la qualité et à la quantité de nourritures que nous ingérons jour après jour.
Des maladies de la nutrition comme l'obésité, le diabète et l'athérosclérose pourraient parfois déjà être déterminées dès les premiers jours de vie. La majorité des enfants obèses deviendront des adultes obèses. Chez l'adulte l'obésité est associée à un risque de surmortalité cardio-vasculaire et au diabète de type 2. Manger
L'obésité est le résultat d'un bilan énergétique positif, c'est-à-dire d'un apport énergétique supérieur aux dépenses. Manger moins limiterait les dommages induits de l'ADN.
Bouger De nombreuses études ont montré une association entre le temps passé à des activités sédentaires (télévision etc..) et le risque d'obésité. L'activité physique induit elle une régénération des mitochondries des cellules musculaires. Penser Penser plus aurait une action de la structure tridimensionnelle de notre ADN et sur l'expression de gènes qui contrôlent la création de nouvelles connexions entre les neurones. De nombreuses expérimentations ont maintenant apporté la preuve que ces trois mesures sont d'une efficacité réelle ( chez les animaux ) contre le vieillissement
Le but de l'étude CALERIE - Comprehensive Assessment of Long-term Effects of Reducing Intake of Energy - est de mieux comprendre l'effet de la restriction calorique prolongée sur le vieillissement humain et de tester si les pratiques de régime hypocalorique chez l'homme de poids normal sont sans danger. L'étude CALERIE est financée par le National Institute on Aging (NIA).
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